“Ziua revoltei muncitoarelor contra sclavajului bucătăriei”
Muncitoarea comunista vrea sa elibereza femeia zdrobită de munca casnica și de creștinism.
“C’est Madeleine Colin qui donne la version la plus détaillée de cette histoire dans le n°1 des Cahiers du communisme, de 1960. “Le 8 mars 1857, un long cortège de femmes “misérablement vêtues” envahit les rues de New York pour réclamer elles aussi “la journée de dix heures, des pièces claires et saines pour le travail, des salaires égaux à ceux des tailleurs”. La police chargea la manifestation quand elle pénétra dans les beaux quartiers de la ville. Mais les ouvrières américaines avaient marqué devant le monde leur existence et leur volonté de conquérir leur place dans la vie”.
https://www.cairn.info/revue-travail-genre-et-societes-2000-1-page-161.htm
Numai ca Françoise Picq a demonstrat ca aceasta manifestație nu a existat, mitul bazându-se pe o minciuna:
Françoise Picq, historienne, l’a « démasqué » dès la fin des années 1970 : « À l’époque, toute la presse militante, du PCF et de la CGT, comme celle des “groupes femmes” 1 du Mouvement de libération des femmes, relayée par les quotidiens nationaux, écrivait que la Journée des femmes commémorait le 8 mars 1857, jour de manifestation des couturières à New York. » Or cet événement n’a jamais eu lieu ! « Les journaux américains de 1857, par exemple, n’en ont jamais fait mention », indique Françoise Picq.
https://lejournal.cnrs.fr/articles/journee-des-femmes-la-veritable-histoire-du-8-mars